Comment choisir son whisky ? Quel whisky offrir ? Ou encore, quel whisky acheter ? Pas une semaine ne passe sans qu’un ami, un lecteur ou un inconnu dans la rue ne pose la question à Georges. Donc plutôt que de répéter mille fois la même chose, il a décidé de créer cet article qui va essayer d’être le plus exhaustif possible sur la question, mais qui vous donnera aidera à y avoir plus clair parmi les milliers de références qu’il existe en whisky (si vous ne trouvez pas la réponse à votre question à la fin de l’article, vous avez le droit de nous engueuler en commentaire).
1. Comment choisir son whisky. La base : comprendre pourquoi on aime (ou pas) un whisky
Avant de vous lancer dans une recherche métaphysique du whisky fait pour vous, il est bon de se remettre aux fondamentaux et de chasser par la même occasion tous les gourous « maitres whisky » qui nous emmerdent littéralement avec leur soi-disant expertise : le but d’un bon whisky, fait pour vous, est de vous donner du plaisir. Ni plus ni moins. Même les masters distillers les plus renommés sont d’accord sur ce point. Un whisky ne peut pas correspondre à tout le monde, mais il existe un whisky qui vous conviendra. Si vous avez compris cette phrase, vous avez compris le plus important : il va vous falloir partir à la quête de ce whisky fait pour vous. Et le plus beau n’est pas l’arrivée, mais le voyage pour y arriver.
Il faut lorsque vous prenez votre verre de whisky qu’il s’échappe ce petit sourire en coin de votre bouche. Quand vous sentiez ce whisky, qu’il vous rappelle un bon moment, et que lorsque vous le mettez en bouche, que vous passiez un bon moment. Pas la peine pour l’instant de rechercher un nom, un prix ou des notes de dégustations particulières. Juste un ressenti. Et dans un monde qui tend à nous imposer ce qui est bon ou non, ce que vous devez boire ou non, vous allez voir que ce n’est pas si facile de se recentrer sur ses émotions. De ce que provoque en vous un whisky. Et pourtant c’est la base. Sans cela, autant s’engloutir des litres de Clan Campell cul sec…
Maintenant que l’on a vu cela, vous êtes prêts pour les choses sérieuses !
2. Le nom : Whisky, whiskey, etc.
Il n’existe pas un whisky, mais une multitude de whiskies (oui au pluriel, whisky devient whiskies). Et même si on nomme globalement whisky, celui-ci peut être un whiskey, un rye, un bourbon. Mais pas de panique sans l’ensemble c’est assez simple :
- Whiskey : pour l’Irlande et les États-Unis (American whiskey). À la base, les Irlandais on ajouté un Y à leur nom whisky pour qu’on le reconnaissance lors des exportations aux États-Unis et qu’on ne le confonde pas avec la piquette des écossais (les choses ont bien changées aujourd’hui…). Le whiskey irlandais est distillé 3 fois ce qui lui confère une plus grande douceur à la dégustation. Et on assiste au renouveau du whiskey irlandais donc à surveiller de près.
- Bourbon : direction les États-Unis. Sa grande différence est dans l’ingrédient principal utilisé : 51% de maïs minimum . Mais aussi on utilise des fûts neufs pour le faire vieillir, ce qui va lui donner un goût de vanille très prisé des débutants. Mais aussi le bourbon est un précieux allié pour les cocktails.
- Rye : direction toujours les États-Unis ! Sauf que cette fois, c’est le seigle qui est utilisé à minimum 51 % (et jusqu’à 95% pour Bulleit Rye par exemple). Il en ressort un profil aromatique plus sec et plus fruité que le bourbon. Il est plus difficile à consommer seul pour un débutant, mais se révèle parfait pour faire les cocktails classiques.
- Whisky : tout le reste. Et là où ça se complique, car peut importe qu’il soit distillé en Tasmanie, dans le fin fond de la Bretagne, dans le froid de la Suède, en Écosse ou au Japon, c’est du whisky, écrit whisky ! Et d’ailleurs le fameux scotch que l’on demandait dans les années 90 (par pitié, ne sortez plus cela en 2018, sous peine de passer pour un beauf), est tout simplement du whisky écossais. Mais il existe pas mal de sortes différentes de whisky, sinon ça serait encore trop facile. C’est que nous allons voir au point suivant.
3. Single malt whisky VS blend whisky
Pour le whisky (qu’il soit Écossais, Japonais ou de Pekinouchtoc) vous aurez toujours un autoproclamé gourou pour vous dire que le meilleur c’est forcement le single malt… Foutaise ! Il existe de très mauvais single malt whiskies tout juste bons pour allumer un BBQ. Il existe aussi de très bons blends whiskies. Pourquoi cette légende continue de perdurer : car en supermarché, les whiskies premiers prix (si si ceux que votre oncle achète pour noyer dans son coca) sont des blends, tandis que les whiskies les plus chers de supermarché sont des single malts. Tout simplement.
Un blend c’est un peu comme un Bordeaux si l’on devait comparer avec du vin : un assemblage de plusieurs fûts, de plusieurs distilleries même dans le cas de notre whisky, pour former un blend whisky (blend signifie mélange en anglais).
Mais également pour baisser les coûts, on utilise du whisky de grain (bien moins cher à distiller) que l’on mélange au whisky de malt. Et ceci nous donne un blend whisky.
Donc le master blender s’apparente à un chimiste, un parfumeur, etc. Bref vous avez compris. On trouve le whisky commercialisé sous une marque et non sous le nom de la distillerie puisqu’il y en a plusieurs. (Johnny Walker, J&B, etc). On cherche pour un blend de la consistance dans le style et des grands volumes.
Le single malt quant à lui, ça ressemble plus à du bourgogne en vin : c’est-à-dire une distillerie unique. Sous un nom de distillerie. Et c’est là où tout le monde s’excite, car il y a plus de chance de trouver des choses plus marquées au niveau du style. Chaque distillerie dépendant de ses fûts, de ses alambics, etc. Donc plus de chance de faire quelque chose d’unique qui le différenciera du voisin.
Si vous achetez un blend à 10 balles au supermarché, forcément il sera horrible. Mais si vous achetez celui à plus de 100 balles, attendez-vous à d’excellentes surprises.
5. Comment choisir son whisky par rapport à la géographie ?
Il est possible de trouver du whisky à peu près partout dans le monde… Vous pouvez opter pour les classiques : Écosse, États-Unis, Irlande, Japon. Mais vous pouvez aussi sortir des sentiers battus et opter pour des pays bien plus originaux : Inde, Suède, Tasmanie… Même la France est en train de connaitre un renouveau du whisky avec des distilleries dans presque toutes les régions de France. La mauvaise nouvelle est qu’il est très difficile de les mettre tous dans la même catégorie en fonction de leur région. Rien qu’en Écosse il est possible de trouver des distilleries situées à moins de 50 mètres l’une de l’autre et faisant des whiskies diamétralement différents… Donc méfiez vous des notions de terroirs, car vous risquez de trouver l’exception qui confirme la règle.
Et si vous choisissez un whisky qui sort des sentiers battus, renseignez-vous sur son histoire, ça vous fera des anecdotes à raconter au moment de l’offrir. Par exemple, un whisky suédois est fabriqué dans un immeuble et chaque étage correspond à une étape de fabrication !
6. Je choisis mon whisky tourbé ou non tourbé
Un bon whisky n’est pas forcément tourbé ! La tourbe est utilisé dans un procédé qui transforme l’orge en malt, mais n’est pas obligatoire. Si on utilise du charbon, alors le whisky ne sera pas tourbé. Si on utilise de la tourbe à cette étape, votre whisky alors sera tourbé. Il existe une multitude de nuance pour la tourbe : légèrement tourbé, un peu tourbé, beaucoup tourbé et terriblement tourbé. Et mauvaise nouvelle, bien qu’il soit possible de déterminer le degré de tourbe d’un whisky via la quantité de phénol présent dans le whisky (exprimé en ppm), cela ne va pas beaucoup vous aider, car certains whiskies peu tourbés sur le papier apparaissent bien plus tourbés que d’autres, normalement plus tourbés à la dégustation… À vous de tester et de vous faire un avis.
À la dégustation, la tourbe va vous apporter différentes saveurs : feu de bois, épices, poisson fumé, caoutchouc brulé.
Ne pas confondre whisky tourbé et whisky « smoked » ou « fired ». Car de plus en plus de marques jouent sur le marketing et la technique pour bruler le fût plus que d’habitude avant de le remplir, et ainsi proposer un whisky qui sera plus « fumé »… Mais rien à voir avec le whisky tourbé « peated » en anglais.
7. Les fûts et le vieillissements
Contrairement au gin et à la vodka qui passe de la case distillerie à la case embouteillage, le whisky a besoin de temps pour s’appeler whisky. Tout dépend dans quelle partie du monde vous êtes, mais aux États Unis, il faut 2 ans de vieillissements minimum et en Écosse, 3 ans minimum. Avant, ça porte le nom d’eau de vie. D’ailleurs, certaines nouvelles distilleries en commercialisent afin de se créer une trésorerie et ne pas rester 3 ans sans rentrée d’argent dans les caisses.
Étant donné que généralement tout le reste est pareil (alambic, eau, etc) au sein d’une même distillerie, il y a juste sur la partie vieillissement que les distilleries peuvent jouer pour créer des choses vraiment différentes .
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L’exception bourbon.
Aux États-Unis, il est obligatoire d’utiliser des fûts neufs pour faire vieillir le bourbon. Alors qu’advient-il ensuite des futs ? Au lieu de partir à la décharge, les fûts sont envoyés par bateau en Écosse, car le whisky écossais n’utilise que des fûts déjà utilisés. Soit d’anciens fûts de bourbon, soit d’anciens fûts de Sherry (en provenance d’Espagne). Et ainsi, redonnez une seconde vie à ses fûts.
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Quelles différences entre un ex fût de bourbon et un ex fut de sherry ?
C’est là où il faut tout le savoir-faire des distilleries. Il ne se contente pas de recevoir les fûts et de les remplir. Mais un travail sur chacun des fûts est entrepris. Le master distiller a une idée en tête et les fûts à sa disposition vont être là pour l’aider à faire sa recette et à donner vie à son idée. Un ex fût de bourbon de premier remplissage donnera plus de notes de vanille, alors qu’un ex fût de sherry lui donnera plus de notes épicées. Tel un musicien, le master distiller va utiliser les fûts à sa disposition pour composer la partition idéale qu’il souhaite donner à son whisky.
8. L’âge du whisky
Voilà on peut enfin venir à l’âge du whisky. Beaucoup de non connaisseurs disent « plus c’est vieux, plus c’est bon ». Cela peut être vrai, mais ce n’est pas toujours le cas ! Alors d’autres vous diront plus c’est vieux plus c’est cher… pas de bol, ce n’est pas toujours vrai non plus.
Déjà il faut savoir que l’âge affiché sur une bouteille n’est pas l’âge du whisky, mais l’âge du whisky le plus jeune entrant dans sa composition. Si par exemple vous achetez un whisky japonais de 8 ans d’âge. Il se peut que celui-ci contienne 40% de whisky 8 ans d’âge, 40% de whisky 12 ans, et 20 % de whisky 18 ans. Mettre des whiskies plus vieux permet de donner plus de corps aux whiskies jeunes. Donc la prochaine fois que vous boirez un whisky jeune, vous pouvez être presque sûr qu’il y a des whiskies plus vieux à l’intérieur de votre bouteille.
Alors, pourquoi ne pas garder toute la production pour du 18 ans ? Pour des questions de trésorerie. Imaginez garder tous vos fûts immobilisés pendant 18 ans…. pas évident de faire tourner une entreprise comme ça. Et le prix du 18 ans serait certainement plus prohibitif donc peut être moins de consommateurs.
Passons aux choses sérieuses, quel âge est idéal pour un bon whisky ? Encore une fois, dur de répondre avec une réponse toute faite. Mais dites-vous qu’un whisky jeune (en dessous de 6 ans) est généralement intéressant soit dans le cas d’une nouvelle distillerie, car ça permet de voir le style qu’elle veut donner à ses whiskies. Ou bien dans le cas d’un embouteillage très spécial. En dehors de ça, l’intérêt est très, très limité.
Entre 6 et 12 ans, il est possible de trouver la majorité des whiskies. C’est là où vous aurez le plus grand choix.
Au-delà de 18 ans, vous commencez à entrer sur des niches avec des spécificicités plus marquées. En effet, plus le whisky est vieux, plus il a passé de temps en contact avec le fût qu’il lui a donné sa palette aromatique. Donc les spécificités sont généralement plus marquées.
La raison pour laquelle un whisky plus vieux est généralement plus cher qu’un whisky plus jeune est, car son immobilisation coute cher à la distillerie : stockage, entretien, etc. Mais aussi à cause de la part des anges qui s’opère chaque année sur chaque fût. Un fût de 25 ans contiendra moins de whisky qu’un fût de 12 ans, car chaque année, une partie de se fût se sera évaporée… Donc moins de bouteilles par fût, d’où un prix plus élevé.
Il y a également de plus en plus de whiskies sans âge (No Age Statement : NAS). Pas de panique, ceux-là respectent la loi des 3 ans minimum, mais les distilleries ne préfèrent pas mettre l’âge pour ne pas influencer le consommateur négativement . Par exemple un NAS peut très bien contenir : 5% de whisky 4 ans d’âge, 50% de whisky 12 ans d’âge, 45 % de whisky 16 ans d’âge. Sauf que la législation l’obligerait à écrire 4 ans d’âge, car c’est l’âge du fût le plus jeune utilisé pour cette bouteille… Alors que la majorité de sa bouteille est constituée de bien plus vieux whiskies. Donc dans ce cas, les distilleries préfèrent ne pas donner d’âge à leur bouteille.
L’autre réalité est que le whisky est victime de son succès : l’augmentation de la consommation de whisky dans le monde est globale. Les distilleries ont beau augmenter leur rendement, et leur stock, ils ne peuvent malheureusement pas jouer sur le temps… Et donc les stocks se vident rapidement. Pour palier à cela, ils ont inventé les NAS qui leur permet de proposer des bons whiskies tout en incorporant des whiskies plus jeunes et éviter ainsi que leur stock se volatilise trop rapidement…
7. Comment choisir son whisky en fonction du prix
On ne va pas se mentir. À moins de 25 euros, c’est quasiment impossible de trouver un bon whisky. Mais entre 25 et 50 euros, il vous est tout à fait possible de trouver votre bonheur et bien plus. Et même pour faire un cadeau, sauf si vous voulez impressionner par le prix, il est tout à fait possible autour de 50 euros de trouver des petites pépites qui feront plaisir à son futur propriétaire.
Se pose également souvent la question, faut il aller dans un supermarché ou un caviste ?
Si vous avez l’opportunité, allez chez un caviste. En plus du choix, beaucoup vous propose de tester et il ne faut pas oublier que la plupart sont des passionnés. Donc c’est toujours plus agréable de discuter avec un passionné qu’être seul face à son linéaire trop éclairé.
De plus, certains whiskies ne sont disponibles que chez les cavistes donc ça serait tout de même dommage de passer à côté de ça.
Faut-il pour autant faire une croix sur les supermarchés ? Pas du tout. Pour les grands classiques tels que Lagavullin 16 ans, c’est parfait. La liste est longue et pour ceux qui n’ont pas de caviste à côté de chez eux, ça reste intéressant. N’oubliez pas que de plus en plus de supermarchés font aussi des foires aux whiskies. Donc si vous voyez passer votre bonne bouteille dans le lot, c’est l’occasion de faire les stocks. Mais par pitié pas le blend bon marché qui inonde les linéaires. Ou alors juste une bouteille au fond du placard pour votre oncle qui réclame toujours du coca avec…
8. La couleur du whisky
« Plus c’est foncé, meilleur c’est ! « . Pas de bol c’est complètement faux pour la simple et bonne raison que plus de 90% des whiskies sur les étalages (supermarchés et cavistes) sont colorés au caramel. Un whisky, même très âgé, ne sera jamais aussi marron que ce que vous retrouvez dans vos bouteilles…
D’ailleurs demandé à votre caviste un whisky sans colorant et regardé juste par curiosité et vous comprendrez mieux que ce sur quoi vous vous extasiez dans votre verre lors des dégustations est du E150. Même si celui-ci ne modifie pas le goût du whisky, il serait quand même probablement cancérigène… De quoi vous orienter vers des whiskies sans caramel ?
9. Comment choisir son whisky pour épater la galerie
Maintenant que vous êtes incollable sur les whiskies, il est temps de passer aux geekeries. Ces whiskies plus particuliers.
Single Cask :
Signifie que le whisky provient d’un seul fût (généralement numéroté). Donc si le whisky vous plait, dépêchez-vous de faire des réserves, une fois le fût terminé, c’est fini.
Cask Strength :
Également nommé brut de fût en français, il s’agit d’un whisky embouteillé à la force du fût entre 50 et 65% alc. Réservez à ceux qui aiment vraiment la puissance…
Small batch :
Signifie que le whisky a été travaillé en petite quantité afin d’avoir parfaitement ce que le master distiller souhaitait faire. Mais attention, il devient de plus employé à tort et à travers comme arnaque marketing.
Finish :
Signifie que le whisky est passé, juste avant son embouteillage quelques mois dans un autre fût pour lui donner des arômes particuliers. Attention ce principe est différent de la double maturation qui consiste à faire le vieillissement d’abord dans un fût (généralement ex bourbon), puis dans un autre (généralement ex-sherry). Par exemple Aberlour pratique sur tous ses whiskies la double maturation.
10. Choisir son whisky pour quelle(s) consommation(s)
Pas la peine d’offrir (ou de s’offrir) une quille à 100 balles si c’est pour la diluer dans du ginger ale. Prenez une bouteille en fonction de votre mode de consommation. Si votre plaisir c’est de boire des cocktails aux whiskies, prenez un bon blend à 25 euros la bouteille, ça sera largement suffisant, et vous évitera de vous intoxiquer avec des blends bon marché. Si à l’inverse, vous recherchez le petit whisky du soir, confortablement installé dans votre fauteuil, alors optez pour un petit single malt avec du caractère. Mais encore une fois, et là c’est le retour au point 1 : prenez du plaisir. Si vous dégustez un whisky pour faire style, car vous avez vu qu’il était bien noté, vous allez droit dans le mur.
D’ailleurs, parlons de ce point :
Chaque personne a des gouts différents. Et ce n’est pas, car un grand expert vous a dit que c’était le meilleur, que vous devez forcément aimer. Si vous n’aimez pas le saumon et qu’un chef 3 étoiles vous fait une recette de saumon… il y a fort à parier que vous n’aimerez toujours pas le saumon. Et bien pour le whisky, c’est pareil. Pas la peine de forcer ses gouts pour essayer de faire en sorte que votre palais ressemble à celui de n’importe quel expert…
Voilà avec tout ça, vous devriez être prêt à vous débrouiller comme un chef pour choisir votre whisky. Celui qui vous convient. Celui qui vous transporte et celui qui vous fait vivre une aventure dès que vous le sentez. Prenez toujours soin de boire avec modération, on prend du plaisir dans l’alcool tant que ce n’est pas de l’alcoolisme.
Si malgré tout vous souhaitiez aller plus loin, on ne peut que vous conseiller la lecture du livre « Le Whisky c’est pas sorcier » qui vous donnera encore plus de clés pour tout comprendre au whisky. Chaque double page traite un sujet différent en rapport avec le whisky (achat, conservation, fabrication, dégustation, cocktails etc). Et si vous avez toujours des doutes après tout cela, vous pouvez contacter Georges, il se fait toujours une joie de répondre à vos questions.
merci pour ce précieux exposé ! pour ma part , je débute (même avec un peu d’âge) mais il n’est jamais trop tard pour découvrir ; j’aime le tourbé mais sans trop d’expression parce que après il est difficile de s’en débarrasser ; je me suis dirigé vers quelques 12 ans et j’y trouve beaucoup de plaisir ( redbreast , tullamore, caol ila ……) je lis beaucoup avant d’acheter et effectivement les bouteilles un peu chères me font peur , car je crains de ne pas les apprécier à leur juste valeur , donc je reste dans des budgets d’environ 50 euros , mais même dans cette fourchette la liste est longue et le choix difficile.
encore merci pour vos précieux conseils
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[…] du monde est un distributeur de spiritueux: whisky, rhum etc. Avec Évadé, ils viennent ajouter une nouvelle corde à leur arc puisqu’ils […]
Merci pour cet article très complet, Georges ! Il y a tellement de choix en matière de whisky que c’est parfois difficile de s’y retrouver. Pour ceux qui cherchent des recommandations supplémentaires, je trouve que le site whisky dégustation offre de bons conseils et des analyses intéressantes sur les whisky japonais. Ça pourrait être une bonne ressource complémentaire pour les amateurs.