Quand Georges a appris que Campari se préparait à une petite révolution, Georges n’a pas hésité une seconde. Il a pris son solex et est parti directement à Rome voir ce qu’il se passait chez la plus italienne des marques d’alcool.
Fini le traditionnel calendrier Campari ! Oui je vois avoir une larme à l’oeil en ne pouvant plus contempler Eva Green, Kate Hudson etc.

A la place ? Un véritable projet artistique bien plus ambitieux encore : un court métrage avec Clive Owen réalisé par Paolo Sorrentino en personne. Et pour l’avoir vu en avant-première c’est une véritable claque visuelle ! Le nom du court métrage : Killer in Red ! On vous laisse apprécier, mais clairement vous n’allez pas être déçu ! Clive Owen a répondu à quelques questions sur le projet, juste à la suite ! Pour l’occasion, un nouveau cocktail « Killer in Red » a été créé aux accents très féminins (idéal pour épater madame au prochain diner) :
– 2.25 cl de Campari
– 2.25 cl de Vermouth blanc
– 1.5 cl de Grand Marnier
– 2.25 Gin infusé à la camomille
– Ajouter 2 spays d’essence de rose

 

La vidéo (13 minutes 20) :

Quel aspect du projet Campari Red Diaries vous a séduit et vous a incité à y participer ?
« Je n’ai pas réfléchi longtemps avant d’accepter le projet Campari Red Diaries. J’ai immédiatement aimé le fait qu’il s’agisse d’un court-métrage avec un vrai scénario, à l’inverse des publicités. Que ce soit Paolo Sorrentino qui le réalise a aussi été d’un grand attrait. Campari est une marque mondialement connue qui représente pour moi l’élégance à l’état pur. Et j’ai beaucoup apprécié de pouvoir passer quelques jours à Rome pendant le tournage de Killer in Red. »

Votre personnage, Floyd, est un barman légendaire. Connaissiez-vous cet univers au préalable ? Et appréciez-vous l’expérience que vous en avez eue ?
« Je n’avais, pour être honnête, jamais travaillé dans un bar auparavant et n’avais donc aucune expérience du métier de barman. « Le jour de mon arrivée à Rome pour le tournage, nous nous sommes rendus dans un bar où j’ai appris à réaliser les différents cocktails qui apparaissent au cours du film. Et je dois m’en être plutôt bien sorti, puisque Campari n’a pas opté pour une doublure pour filmer les mains – c’est moi qui ai réalisé tous les cocktails !  J’ai appris que la réalisation de cocktails est un art très rigoureux. Je dois avouer que je vois aujourd’hui ce métier d’un nouvel œil.

Pour cette première collaboration avec Paolo Sorrentino, qu’est-ce qui vous a particulièrement marqué ?

« Travailler avec Paolo Sorrentino a été une expérience magnifique. Je pense qu’il est l’un des meilleurs réalisateurs de notre époque, un visionnaire à l’imagination époustouflante. Être témoin de son travail aux côtés de son équipe talentueuse a été un véritable plaisir. J’espère vraiment que cette opportunité se représentera dans le futur. »

Un cocktail mis en valeur !

Campari Red Diaries met à l’honneur le cocktail avec toute la force et l’expressivité d’une œuvre d’art, fidèle à la devise que « tout cocktail raconte une histoire » faisant ainsi écho à la créativité du bitter milanais. De quelle manière avez-vous appliqué cette philosophie à votre personnage?
« Le cocktail est aujourd’hui, et plus que jamais, une boisson très respectée. Le flair artistique nécessaire à l’élaboration de cocktails occupe une place de plus en plus importante et les bars qui se spécialisent dans de bons cocktails de qualité sont en augmentation. Mes voyages autour du monde m’ont appris que chaque cocktail est différent, réaliser un délicieux cocktail est un véritable art. Tout le monde apprécie un bon cocktail et nous sommes désormais prêts à nous rendre dans des établissements bien spécifiques à la recherche d’un certain barman. »

De quoi se compose le cocktail que le protagoniste de Killer in Red élabore dans le film ?
« The Killer in Red est réalisé à partir d’un mélange de Campari, Cinzano 1757 Bianco, Grand Marnier, gin à la camomille et une goutte d’essence de rose. Vous voyez, je m’en suis souvenu… Je m’en souviendrai toujours ! »

 

Killer in Red Campari 2017

 

Author

Fondateur de ForGeorges - plus de 1 000 bars testés à travers le monde - prend autant de plaisir à tester un nouveau bar, que déguster un spiritueux ou un verre de vin en bonne compagnie ! Spécialiste de la loi Évin et dénicheur de bonnes idées et innovations pour les marques d'alcool ! Son cocktail préféré ? Tous à partir du moment où ils font passer un bon moment (mais ne crache jamais sur un old fashioned bien réalisé ! ). Auteur des livres : Le Whisky C'est pas Sorcier, Le Rhum c'est pas sorcier et Les Cocktails c'est pas Sorcier, aux éditions Marabout et traduits en plusieurs langues (Anglais, chinois, japonais, russe, italien, néerlandais...) Auteur des livres : Le Whisky C'est pas Sorcier, Le Rhum c'est pas sorcier et Les Cocktails c'est pas Sorcier, aux éditions Marabout et traduits en plusieurs langues (Anglais, chinois, japonais, russe, italien, néerlandais...)

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