Comment soigner sa gueule de bois. Eternelle question que l’on pose à Georges quasi chaque semaine. « Avec tout ce que tu dégustes, comment fais-tu pour ne pas avoir de gueule de bois ? « .
La gueule de bois c’est quoi ?
Déjà entendons-nous sur la définition de « gueule de bois ». Car selon les personnes elle varie complètement. Apres une longue enquête interne, les principaux symptômes sont : mal de tête, envie de vomir ses tripes, grosse fatigue, mal de ventre. Nous passerons ici les symptômes plus dégueulasse que la bienveillance nous empêche d’écrire…
La cause de cela ? Votre corps est déshydraté. L’alcool a beau être liquide… il assèche votre corps. Pas la peine de se précipiter sur la bouteille d’Evian, c’est trop tard. Et ça ne suffira plus… Attention cet article n’est pas là pour encourager l’alcoolisme, bien au contraire.
Comment soigner sa gueule de bois ?
1. Pendant la soirée : le verre d’eau entre chaque verre d’alcool
Oui on radote mais c’est surement le meilleur moyen de contrer les effets de l’alcool le lendemain (et le soir même).
2. Avant de se coucher : 1/2 litre d’eau
Même si vous avez respecter le verre d’eau entre 2 verres d’alcool, il faut hydrater son corps avant de s’endormir. Ne pas hésiter à prendre une bouteille d’eau pour la nuit car les réveils sont fréquents quand on s’endort en ayant bu.
3. Le lendemain matin : des vitamines et du zinc
Une bonne cure de fruits et légumes ne vous fera pas de mal et permettra de renouveller toutes les vitamines utilisées pour bruler vos excès. De plus, si vous aimez les huitres, le zinc qu’elles contiennent est très bon pour se refaire une santé.
Une cure de radis noir pour remettre d’aplomb votre meilleur ami le foie ne sera pas un luxe non plus !
4. Le lendemain toute la journée
On continue de s’hydrater. Si l’eau commence à vous gonfler, opter pour une soupe une tisane. Mais le café est à éviter… sauf à vouloir passer sa journée sur le trône !
Si mal de ventre il y a ? Une cuillère de bicarbonate de sodium dans un verre d’eau.
5. Le lendemain soir (pour les plus courageux)
On reprend l’apéro avec les amis. Comme dit toujours mon père : il faut soigner le mal par le mal. Mais attention au surlendemain…